L'oeil ravi
L'OEIL RAVI est un outil promotionnel pour les soirées-rencontres avec des artistes visuels professionnels. Elles sont organisées par les artistes Annouchka Gravel Galouchko et Stéphan Daigle. L'OEIL RAVI est une des composantes de l'organisme LA VOLONTÉ CRÉATRICE fondé par les deux artistes.
lundi 27 février 2012
L'OEIL RAVI 2012 à la bibliothèque de Vaudreuil-Dorion
Cette année, les soirées-rencontres de L'OEIL RAVI vous seront offertes dans une nouvelle formule plus courte et plus ouverte. Les 5 soirées de 2012 se tiendront à la Bibliothèque de Vaudreuil-Dorion au 51 rue Jeannotte : tout à côté des deux nouvelles patinoires. Nous vous invitons à réserver vos places en téléphonant au 450 455 5588.
Les soirées-rencontres de L'OEIL RAVI auront lieu les vendredi 6 avril, 18 mai, 1er juin, 7 septembre et 5 octobre de 19 h à 20 h 30.
Nos artistes invités seront Richard Caplette, artiste peintre le 6 avril; Johanne Pepin, illustratrice jeunesse, le 18 mai pour la semaine de la Famille; Lyne Charlebois, artiste modèle vivant, le 1er juin; Annie Brunette, artiste peintre, artiste de performance et poète le 7 septembre; William Vazan, artiste visuel de réputation internationale, le 5 octobre.
Nous vous invitons à venir nombreux à ces médiations culturelles pour y découvrir des artistes visuels professionnels de grand talent et pour leur poser toutes les questions qui nos permettront de mieux comprendre leurs démarches et le sens de leurs actions.
Annouchka Gravel Galouchko
Stéphan Daigle
6 avril / Richard Caplette, artiste peintre
Oscillations/acrylique sur toile/Richard Caplette 2011
Composition pour une ruelle/acrylique sur toile/Richard Caplette 1977
Coeur de ville/acrylique sur toile/Richard Caplette 1978
Né à Montréal en 1951, Richard Caplette peint depuis plus de 40 ans.
Son inspiration lui vient principalement de l’art de la préhistoire, puis de sa fascination pour l’architecture urbaine. Ses longs trajets en bus ou à pieds comme étudiant au cégep et à l'université l'ont mené à une observation intensive des murs du centre-ville. Au cours de cette incursion profonde, l'artiste a raccordé l'instant qui sépare l'instinct créateur de l'homme des cavernes et la pulsion créatrice de l'homme moderne. Pour lui, la préhistoire représente l'époque où le silence d'une caverne a abandonné ses parois au langage gestuel de l'homme, où la question d'être est devenue l'image de son intuition. " Qui étaient-ils ? D'où leur venaient cet instinct, cette pulsion créatrice ? "
Ses tableaux à l'acrylique composés de couches picturales successives, un peu comme des souvenances, délicatement déposées dans une gestuelle intuitive, ne manquent jamais de nous interpeller. Richard Caplette réussit là un dialogue miracle entre son oeuvre et l'homme de la rue. Sa démarche artistique consiste à renouer intuitivement avec une gestuelle ancestrale; elle lui permet de transposer sur la toile, sa perception d'une humanité en quête d'identité.
18 mai/ Semaine de la famille/Johanne Pepin, illustratrice
Séance d'habillage © Johanne Pepin
Beau temps pour étendre © Johanne Pepin
Johanne Pepin est née à Longueuil.
Elle a étudié en graphisme et en arts plastiques
au cégep du Vieux Montréal,
puis en design graphique à l'université Concordia.
Très vite, elle obtient des contrats en illustration
et sa carrière d'illustratrice occupe tout son temps.
Depuis plus de 30 ans, Johanne Pepin illustre
des couvertures de livres, des livres pour enfants,
des manuels scolaires, des affiches...
Elle participe aussi à des expositions et des symposiums
où elle présente ses aquarelles et ses acryliques
ainsi que quelques cartes de souhaits et signets.
On peut voir ses oeuvres sous forme de murales
un peu partout à travers le monde.
Pour réaliser ses oeuvres,
elle utilise l'aquarelle ou l'acrylique
et parfois l'encre de Chine pour les contours.
Ce sont d'abord les sujets imaginatifs que l'on remarque.
Son choix de couleurs gaies attire l'oeil.
En s'approchant, on découvre de petits détails souriants.
Installée à Coteau-du-Lac, elle consacre
son temps à une carrière artistique bien remplie.
Elle s'inspire de gens qu'elle aime,
des enfants de son entourage, de grands arbres,
de belles vaches du chemin St-Emmanuel,
de promenades au parc sur le bord de l'eau...
Ses oeuvres nous transportent dans un monde de fantaisie
où l'imaginaire côtoie les plaisirs simples de la vie.
Pour plus d'information, visitez JohannePepin.com
La vitrine © Johanne Pepin
1er juin/Lyne Charlebois, artiste modèle vivant
Photographie de Nancy Patry
acrylique de Jacques Clément
Pastel de Suzanne Duranceau
Acrylique de Jacques Clément
À l’époque où j’étais à faire mon DEC en arts plastiques, et à découvrir les œuvres des grands maîtres dans mon cours d’histoire de l’art, je mettais en pratique les règles du dessin d’observation. Mon professeur de l'époque me dit qu’avec mes rondeurs, je ferais fureur à poser comme modèle vivant… Je l’ai regardé plein de scepticisme.
Quelques semaines plus tard, par un beau soir de décembre sous une première neige douce et romantique, une amie me conduit dans un village des Laurentides où j’ai fait l’expérience de poser pour une première fois comme modèle vivant.
Après la soirée, elle me donna quelques conseils, dont celui de toujours avoir une torsion quelconque pour que la pose soit intéressante de tous les points de vue… Je me suis rappelée, alors, la magnifique sculpture du « Baiser » de Rodin qui m'avait tant émue.
Plus de seize ans se sont écoulés depuis, et j’ai développé ma propre identité artistique. Le plus grand atout d’un modèle hormis l’immobilité, est celui de la présence. Mes formes rondes et voluptueuses et la captation de la lumière sur ma peau sont des qualités recherchées par les artistes travaillants d’après modèles. Et, j’ai l’honneur et le plaisir de les incarner.
L’ardeur du travail au fusain des participants aux séances de dessins reste et restera présent tant que je poserai comme modèle vivant. Cette sensation d'être à l'origine de ce flot d'énergie créatrice est la grande récompense du modèle. Et, avec cette même ardeur et dans ce même silence habité, j’écrirai aux générations à venir, et je raconterai les mille et une histoires qui ont pris naissance en moi alors que j’étais seulement vêtu de mon âme.
Lyne Charlebois
Lyne Charlebois pose comme modèle vivant depuis 1996 dans pratiquement toutes les institutions d'enseignements en arts visuels de la grande région de Montréal ainsi que pour de nombreux artistes en atelier.
Sa formation théâtrale, sa grande sensibilité artistique et sa tout aussi grande expérience de modèle vivant font de Lyne Charlebois un des modèles les plus prisés des créateurs et des formateurs. Comme elle est elle-même formatrice en art visuel, elle est à même de saisir parfaitement les attentes des artistes et comprend aisément leurs préoccupations particulières.
Lyne Charlebois a développé au cours des ans une vision personnelle de sa pratique et propose à travers sa présentation de nous l'exposer.
L'OEIL RAVI vous invite à cette soirée-rencontre originale du vendredi 1er juin qui vous permettra de découvrir l'art presque inconnu du modèle vivant.
Faits à noter
Participation au documentaire « Maudite bedaine… et autres parties » (Martine Forand); présentation publique en 2009
Participation au documentaire « L’art du Nu » (Marie-Claude Riendeau & Bernar Hébert, présenté à FIFA en mars 2007
Participation à une œuvre de Spencer Tunick, photographe de New York en 2001
7 septembre/Annie Brunette, artiste peintre, artiste de performance et poète
Annie Brunette est née à Montréal en 1976 et peint depuis l’âge de 12 ans. En 2007, elle a obtenu son baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’UQAM. Elle vit et travaille à Montréal.
Ses préoccupations et questionnements actuels incluent la marginalisation et les traditions en relation avec la vie sociale actuelle. Son approche, surtout picturale à ses débuts, a évolué vers la multidisciplinarité, notamment la performance, l'installation et la vidéo. Elle recherche de nouvelles manières de susciter de l'interaction entre les humains.
Elle a présenté son travail en performance et en vidéo lors de nombreuses expositions et événements, notamment à Folie/Culture (Québec), à La Centrale (Montréal), au Musée de la Gaspésie (Gaspé), au Triskel Art Center (Cork, Irlande), à Dare-Dare (Montréal), au Centro de Arte Moderno (Madrid) et au Lieu (Québec). Elle a présenté son travail pictural dans le cadre d'expositions solo au centre d’artistes Vaste et Vague (Carleton-sur-Mer), au centre ART neuf (Montréal) et au Centre Culturel de la Banque d’Italie (Rome).
En 2009 elle a reçu une bourse de 15 000$ du Fonds des arts et lettres de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine pour la réalisation du projet Psychoses et Petites Choses, et en 2010 a remporter le prix de la création artistique en région du Conseil de arts et lettres du Québec.
5 octobre/Bill Vazan, artiste visuel et sculpteur
William (Bill) Vazan est un pilier de l’art visuel au Québec. Figure marquante de l’art conceptuel, du land art et du montage photographique, son œuvre multiforme, qui s’échelonne sur plus de 40 ans, procède d’autant de disciplines que la sculpture, le dessin, la peinture, la performance et la photographie. Passant de l’œuvre monumentale aux dessins topographiques, sa démarche rigoureuse et originale s’avère remarquable de cohérence. Dans tous les cas, l’observation du monde environnant, l’inscription des traces laissées par l’occupation humaine et les possibilités infinies de nos points de vue portés sur le monde, sont au cœur de la démarche de l’artiste.
Né à Toronto, Bill Vazan vit et travaille à Montréal depuis 1957. Dès les années 1960, il se démarque par des projets conceptuels d’envergure tels que Canada in Parentheses (1968-1969), ou encore Canada Line (1969-1970) et World Line (1969-1971) dans lesquels des galeries et musées furent invités à apposer au sol un ruban noir de manière à relier virtuellement et simultanément huit villes canadiennes (Canada Line), puis 25 villes partout autour du monde (World Line). Cette ambitieuse entreprise de réseautage à l’échelle planétaire allait devenir chez l’artiste un des fondements structurels de sa vision d’un monde aux ramifications multiples mais interdépendantes. Rappelons par ailleurs que Bill Vazan, stimulé par l’idée d’inscrire Montréal et le Québec dans un réseau international, participe avec treize artistes à la fondation en 1972 de Vehicule Art (Montréal) Inc., important centre de diffusion parallèle où seront présentées des pratiques actuelles et expérimentales.
La seconde moitié des années 1970 marque les débuts de ses œuvres monumentales dont des projets de pierres alignées. Parmi elles, Stone Maze, installation éphémère présentée au parc Lafontaine en 1976 dans le cadre de Corridart. Comme plusieurs autres, l’œuvre fut détruite dans la nuit du 17 juillet, à la veille de l’ouverture des Jeux olympiques sur l’ordre du maire Jean Drapeau. En 1979, il réalise Pression/Présence sur les plaines d’Abraham, un immense dessin de 400 mètres de diamètre tracé sur le gazon, évoquant à la fois l’idée des mouvements géologiques de la vallée du Saint-Laurent et des tensions culturelles provoquées par les passages humains. Dès lors se succéderont une multitude d’interventions permanentes et éphémères dans la nature, les parcs et dans les espaces publics. Ses interventions directes sur les sites répondent non seulement à sa sensibilité envers l’environnement mais aussi à son intérêt profond pour la mémoire des lieux. D’où sa fascination pour les cultures anciennes et son respect des valeurs fondamentales des grandes civilisations tout comme celles des cultures amérindiennes. À cet effet, à partir de 1978, il multipliera les voyages dans de nombreux pays et déploiera ses œuvres de land art en Chine, en Égypte, en France, en Israël, au Japon, au Pérou, en Russie, entre autres destinations.
L’œuvre photographique de Bill Vazan est non moins déterminante. En tant que document, elle assure la pérennité des œuvres du land art mais aussi des performances qu’il réalise dans l’espace public. Depuis la fin des années 1960, il entreprend ainsi de multiples itinéraires à pied, en voiture, en autobus ou en métro, tant à Montréal qu’à Toronto, dans l’intention de capter chaque fois jusqu’à une centaine de prises de vue, accompagnées de cartes et de notations. La saisie de toutes les intersections traversées, de chaque panneau signalétique ou chaque arrêt d’autobus, retrace avec minutie et en séquence le long parcours accompli.
Cette manière de faire prend en compte les caractéristiques spatiales et temporelles expérimentées et enregistrées lors du parcours, mais examine plus précisément les déplacements de l’individu en rapport avec la position qu’il occupe dans son environnement, voire même sur le globe. À l’instar de ses projets de lignes mondiales (comme dans l’ensemble de sa production par ailleurs), le langage conceptuel de Bill Vazan est ici dominé par la ligne. Qu’elle soit virtuelle, configurée par les déplacements, tracée sur la neige (à la même période il entreprend des actions dans la nature, comme des marches dans la neige ou des dessins géométriques sur le sable) ou créée sur les sites historiques (land art), la ligne rend visibles les liens qui unissent les choses entre elles, que ce soit à une échelle locale ou dans un système de communication mondiale. Signes avant-coureurs de la mondialisation, de la compression du temps et de l’effacement des frontières, les premiers projets conceptuels de Vazan sont ni plus ni moins criants d’actualité. En 2007, VOX, centre de l’image contemporaine, organisa une captivante exposition sur son travail conceptuel des années 1960 et 1970, accompagnée d’une rigoureuse monographie intitulée Bill Vazan : Walking into the Vanishing Point.
Vazan s’est également fait reconnaître pour ses expérimentations formelles avec le médium photo. Les lieux et monuments captés par l’artiste en Égypte, en Asie et autres sites naturels d’exception au Canada ou au Québec, sont ainsi découpés en multiples points de vue et en simultanée, créant d’immenses et inusitées mosaïques photographiques, sortes de constellations visuelles sans point central fixe. Poursuivant ses explorations sur l’observation et la schématisation du monde environnant, Bill Vazan, en chercheur infatigable, se dote ici d’une approche à la fois anthropologique et scientifique mettant à profit sa vision analytique du monde. Dans ce vaste corpus de photographies faites de plans saccadés, qui extrapolent avec grande acuité les limites de notre champ visuel, il sonde les théories de la physique basées sur un univers à plusieurs dimensions, cherchant inlassablement à comprendre les principes unificateurs que cet univers dissimule.
Bill Vazan a introduit une manière différente de faire et de réfléchir l’art. Que ce soit avec le land art, les nombreux marquages sur la pierre ou sur les routes, les dessins sur papier, sur le sable ou sur la neige, son œuvre trace un voyage dans le temps, évoque les grands symboles et les mouvements de l’homme à travers l’évolution de la vie. En s’efforçant de construire des modèles de compréhension du monde, ne poursuit-il pas la lignée des cultures primitives qui tâchaient d’être en harmonie avec les mystères de l’univers? Là réside la force exemplaire du travail de cet artiste singulier. Un travail motivé par une conscience environnementale, sociale et culturelle déjà inscrite dans l’histoire, qu’il configurait de manière visionnaire dès les débuts de sa carrière et désormais garante du futur.
Ses œuvres ont été largement exposées en Amérique du Nord et à l’étranger (plusieurs dès 1973) et sa pratique a fait l’objet de nombreuses analyses critiques dans les revues spécialisées et les catalogues d’exposition. En 1980, le Musée d’art contemporain de Montréal organisait une grande exposition rétrospective intitulée Bill Vazan : Suites photographiques et œuvres sur le terrain, laquelle circula pendant un an dans trois institutions canadiennes. En 2001, le Musée national des beaux-arts du Québec lui consacrait une importante exposition sous le titre Bill Vazan. Ombres cosmologiques, qui a voyagé au Canada pendant plus de quatre années consécutives. Plus récemment, des œuvres de sa période conceptuelle font partie d’une exposition collective majeure consacrée au développement de l’art conceptuel au Canada. D’abord présentée à Toronto, Traffic : Conceptual Art in Canada 1965-1980 circulera à Vancouver, Edmonton, Halifax et à la galerie Leonard and Bina Ellen de l’Université Concordia, à Montréal, tous organisateurs partenaires de l’événement.
lundi 10 janvier 2011
Soirées-rencontres 2011 avec des artistes visuels professionnels à la Maison Valois
L'OEIL RAVI
PRÉSENTE
SOIRÉES RENCONTRES
AVEC DES ARTISTES VISUELS PROFESSIONNELS
À LA MAISON VALOIS
Voici un projet de médiation culturelle consistant en
des soirées-rencontres entre les artistes et le public
à la Maison Valois de Vaudreuil-Dorion.
des soirées-rencontres entre les artistes et le public
à la Maison Valois de Vaudreuil-Dorion.
Elles seront animées par les artistes Stéphan Daigle et Annouchka Gravel Galouchko.
Ces soirées-rencontres seront proposées les vendredis 4 février, 4 mars, 1er avril, 6 mai, 3 juin,
2 septembre, 7 octobre et 4 novembre 2011.
Ce projet est soutenu par le Service des Arts et de la Culture de la ville de Vaudreuil-Dorion
dans le cadre de la campagne
Je suis...
Ce projet est soutenu par le Service des Arts et de la Culture de la ville de Vaudreuil-Dorion
dans le cadre de la campagne
Je suis...
OBJECTIFS
Les soirées de L’ŒIL RAVI permettront au grand public de Vaudreuil-Dorion, à la clientèle étudiante des écoles secondaires et collèges de la région ainsi qu’aux artistes d’ici de rencontrer des artistes visuels professionnels pratiquant différentes disciplines.
Chacun pourra découvrir des créateurs visuels de grand talent dans une atmosphère conviviale
tout en se familiarisant avec la création contemporaine.
Les artistes invités viendront des domaines de la photographie, du film d’animation, de la performance, de la vidéo, de l’illustration, de l’estampe, de la sculpture, de la bande dessinée, du multimédia, de la peinture, du costume, du design graphique, etc.
En plus de découvrir de nouveaux artistes et leurs créations, les participants auront l’occasion de présenter un échantillon de leur propre travail (maximum de 3 œuvres) à l’artiste invité afin de recevoir ses conseils.
Ces rencontres permettront des échanges fructueux pour chacun tout en permettant la découverte des multiples facettes de la création visuelle.
DÉROULEMENT
Lors de ces soirées, les artistes visuels invités présenteront d’abord un échantillon de leurs œuvres en diaporama (ou autrement) tout en racontant leur cheminement artistique. Les animateurs assisteront l’artiste dans cette démarche par des questions pertinentes et éclairantes. Viendra ensuite la présentation de quelques œuvres telles des illustrations originales, tableaux, sculptures, films d’animation, bandes dessinées, etc.
Cette présentation permettra aux participants de mieux cerner le travail des artistes et de se renseigner sur les contraintes et avantages liés à chaque pratique. Une pause-café offrira un moment de détente et d’échange informel entre tous les participants. Il y sera offert café, rafraîchissements et petits gâteaux.
Une période de questions débutera cette deuxième partie.
Suivra une période où les participants pourront solliciter des conseils
Une période de questions débutera cette deuxième partie.
Suivra une période où les participants pourront solliciter des conseils
et présenter leurs propres travaux (3 maximum) à l’artiste invité devant le public.
Chacun pourra y aller de ses commentaires dans un but d’entraide et d’encouragement.
Commençant à 19 h 30, les soirées se termineront vers 22 h.
INVITÉS
4 février : Josiane Farand, artiste photographe
4 mars : John W. Stewart, artiste peintre et illustrateur
1er avril : Madeleine Turgeon, artiste peintre
6 mai : Talleen Hacikyan, artiste estampière à l’Atelier Circulaire
3 juin : Daniel Sylvestre, artiste estampier et illustrateur
2 septembre : Manon Côté, artiste peintre et estampière
7 octobre : Diego Herrera-Yayo, artiste illustrateur et caricaturiste
4 novembre : Chris Varady-Zabo, artiste du Land Art
LE BLOGUE de L’ŒIL RAVI
L’ŒIL RAVI vous offre la possibilité d’avoir un aperçu de l’art de nos invités et
de vous familiariser à l’avance avec leur travail.
Vous pourrez afficher vos commentaires sur leur travail de même que sur
la soirée-rencontre avec nos invités sous les chroniques qui leurs sont consacrées.
Vos commentaires plus généraux sont les bienvenus et pourront être ajoutés
sous l’article de présentation.
AFFICHES ET DÉPLIANTS
Vous pouvez faire la demande d’affiches et de dépliants au service des Arts et de la Culture de Vaudreuil-Dorion à la bibliothèque municipale
51, rue Jeannotte, Vaudreuil-Dorion J7V 6E6
Téléphone : 450-455-5588
biblio@ville.vaudreuil-dorion.qc.ca
La Maison Valois est située au
331, avenue St-Charles, Vaudreuil-Dorion J7V 2L6
Téléphone : 450-455-5588
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